2009/11/19

Ce qui arrive aux méchants journalistes

Je croyais honnêtement ne pas revenir sur le sujet mais je n'avais pas le choix. Toutefois, je ne m'éterniserai point.

Quel plaisir de savourer Foglia aujourd'hui! Malheureusement un peu sur le tard, car j'ai l'habitude de lire mes journaux aux aurores.

Mais comme on dit, vaut mieux tard. En fait, j'aurais préféré qu'il ne le fasse hier. Mais ça doit être la faute à Ronald King, si au moins il lui avait envoyé son courriel avant. Ou bien c'est encore la faute de Hal Gill. Depuis qu'il est blessé le pauvre, on a tendance à l'oublier… Enfin, je voulais dire merci à monsieur Foglia pour avoir partagé avec nous ce qui arrive aux journalistes trop négatifs.

Bref, le monsieur du Chicago Tribune a été obligé de manger ses mots, littéralement, après avoir dit des choses pas trop gentilles à propos d'un joueur de basket, en l'occurence un certain Joakim Noah.


J'ai maintenant un nouveau fantasme à mon répertoire : je ferme les yeux et j'imagine l'ami Réjean dîner en compagnie de Robert G. et Pierre B.

Salsa ou moutarde ?

Aucun commentaire:

Publier un commentaire