2010/01/02

L'année de l'Arnaque


Robert Redford et Paul Newman: deux de mes acteurs américains préférés. Ensemble, ils étaient adorables dans Butch Cassidy and the Sundance Kid, mais je crois qu'ils l'étaient davantage dans The Sting. Outre la complicité légendaire des deux gentlemen aux yeux couleur de paradis, c'était la musique de Scott Joplin qui m'avait beaucoup plu, et qui m'avait été révélée par ce dernier film, grâce à la passion exubérante de Marvin Hamlisch.






Tout ceci pour dire que cette interprétation ragtime de l'an 2009 m'a vraiment fait sourire. Très fort.


2009/12/30

Une trêve de cerbèrhérésie ?

J'en ai assez de cette guéguerre de cerbères. Je les aime tous les deux – certains diront que j'aime tous les cerbères, mais bon, je leur répondrai alors «tant qu'ils endossent la Flanelle» – en ordre alphabétique ou en sens anti-horaire, Carey et Jaro, Jaro et Carey…


Voilà. C'est dit. Peut-on faire la paix entre toutes les factions?


Salut Gilles Carle, Stéphane Venne et Isabelle Pierre

extrait Les Mâles – Le temps est bon

2009/12/29

Pièce d’entomologie

Être fan de hockey ne m'empêche pas d'avoir d'autres intérêts, même si à me lire ça n'est pas toujours évident. C'est vrai que je consacre de moins en moins de temps à la télé que par le passé. J'aimais bien les téléséries comme CSI, toutes saveurs sauf peut-être celle de Miami parce que David Caruso, pu capable! En fait, à bien y penser je n'ai jamais été capable. J'ai toujours eu une préférence pour l'originale, celle avec le mystérieux Gil Grissom – qui en a profité pour se pousser de Las Vegas et rejoindre sa belle Sara pendant que je ne le suivais plus, mais bon… J'ai facilement été séduite par ce personnage complexe, intelligent, vulnérable et au sens de l'humour particulier. Je suis même presque persuadée que s'il avait été joueur de hockey il aurait été gardien de but.


C'est en zappant distraitement l'autre soir que j'ai réalisé que j'avais tout raté de son départ de la série, et par conséquent à quel point j'avais laissé tombé le petit écran. J'ai eu mes séries cultes à moi comprenant toute la collection Star Trek ou presque. Mais c'est en googlant pour en savoir davantage sur mon héros entomologiste que je suis tombée accidentellement sur cet article rendant hommage aux grands scientifiques fictionnels télévisuels et j'y ai retrouvé de vieilles connaissances: neuf parmi les 10 du palmarès cité… J'aurais probablement inclus Data à la place de ce Heinz Wolf qui m'est parfaitement étranger. De deux choses l'une, ou bien j'ai trop passé de temps devant l'écran télé à un moment donné ou à un autre, ou bien je connais bien mes classiques. J'opte pour la dernière, c'est plus valorisant.



Rassurez-vous, je possède toujours un téléviseur. Pour Météomédia et les autres chaînes d'info continue. Et pour le hockey bien sûr, ainsi que les quelques émissions de fin de soirée qui en parlent. C'est ainsi que je savais que certains analystes experts, à l'instar de Gil Grissom, faisaient leur pain et leur beurre de trouver des bébittes à mes Glorieux bien-aimés. Mais quelle ne fut pas ma surprise d'en voir un de ces analystes l'admettre à haute voix et ce, en pleine télé d'État!



Je sais que quand Jean Perron malmène les joueurs (biélo)russes, V s'en fout. Mais quand La Zone se met à chercher des bébittes à l'un des frères K, faut-il se plaindre à l'ombudsman de Radio-Canada ou contacter les Sportnos?



2009/12/28

Jaro, le héros tchéquouslovaque


Mon équipe de hockey préférée c'est comme presque les Nations Unies: on y retrouve entre autres des Russes, des Biélorusses, des Tchèques, des Slovaques ainsi que les incontournables États-uniens et Canadiens parmi lesquels quelques trop rares pure laine Québécois.

Mais nous avons la seule équipe de la LNH qui compte un Tchéquouslovaque. Oui, oui, c'est vrai puisque c'est RDS qui le dit.


Ou bien RDS voyage dans le temps. Comme ils le font dans un même épisode de Star Trek, RDS voyage dans le temps dans un même article.



Oui, j'allais oublier... Bravo Jaro!

Et Pricey, je t'aime encore.