2010/02/12

La factorie du spaghetti


Ce billet n'est ni revue de restaurant, ni critique gastronomique, ni truc culinaire. Oh, oui, on peut tester la «prêtitude» des pâtes alimentaires en les garrochant sur les murs. Si elles y collent elles sont prêtes dit-on. Je vous dirai tout de suite que ça n'est pas ma méthode. Étant visuelle plutôt qu'auditive, je suis aussi une gustative: je vérifie la cuisson de mes linguines et autres pennes en les croquant.

«Jeter du spagsuémurs» est aussi une stratégie fort utilisée pour se faire un nom dans les internets. L'idée est d'émettre à tout vent, et éventuellement une parcelle d'information ainsi délivrée finira par coller et s'avérera. Entretemps, on lance la perche et certains s'accrochent au bruit du train ainsi lancé. Et on se fait un nom en attendant de déguster le plat fini.

Et la haute saison des transactions dans le hockey de la ligue à Gary est un îlot de cuisine fertile. À preuve, ce blogueur d'un site de nouvelles qui fait parfois dans les eaux vives s'est fait un nom cette semaine en spéculant sur les possibilités du parachèvement d'une transaction qui doterait mon équipe de hockey préférée d'un certain frileux Frolov – rumeur frelatée? On verra bien.

Cette année, le buffet est servi sur Twitter et ça risque d'être fort intéressant. J'y suis à mes premières armes, mais déjà j'ai goûté aux étranglements du Super Bol dimanche dernier, puis cette semaine à la générale de la dernière journée des transactions du 3 mars, grâce à la trêve olympique qui débute à 15 heures aujourd'hui.

Miam.

Je profite du moment pour reprendre une citation d'un de mes journalistes préférés, Dave Stubbs (twittable ici), du quotidien The Gazette à titre d'avertissement ABS ou anti-dérapage: «une rumeur vraie est un fait».

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