2009/11/22

Bleu, bleu, dimanche bleu

Ça n'a rien a voir avec le blues de la défaite. Non, à vrai dire, là-dessus je me sens assez en paix.

Je ne suis pas encore sûre à propos du chandail de 1909 toutefois. Ça me faisait tout drôle de crier «Allez les Bleus ! », sans penser au cousin Cristobal qui pourtant était bien loin à tenter de contrer les hockeyeurs d'Edmonton. J'ai même pu pendant quelques instants me créer cette perversion chimérique de bleuets électriques, jugés par des Bleuets dénigrants *. Finalement, je n'aime pas le bleu 1909, trop distrayant… mes Glorieux je les préfère dans le Bleu mais celui qui vient avec le Rouge et le Blanc.


Dimanche bleu c'est surtout un clin d'œil au passé, à mes jours de pensionnaire. C'était les valises pour la semaine, les adieux déchirants pour les cinq jours à suivre, des éternités alors. Cette routine qui finalement fut brisée à temps pour apprécier les Beaux Dimanches, fut de courte durée, au plus quelques années. Toutefois, elle a laissé ses séquelles, présentes des premiers crépuscules d'automne jusqu'au dégel printanier…


Et qu'est-ce qui jouait dans la voiture familiale, en format cassette 8 pistes faut-il mentionner, de Grand'Mère vers Trois-Rivières, dans ces allers particuliers dominicaux ?



* Un Bleuet dénigrant: peut être un journaliste élu au Temple de la Renommée du hockey. Ou pas.

1 commentaire:

  1. Bleuet dénigrant? Barbu?
    Un Tremblay peut-être!?!?

    Le meilleur blogue de la planète?
    "Toute éparpillée" !!!

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